Lady Mentis [En cours]

Amanda Mary Mentis

♦ Race : Démon
♦ Date de naissance : 21 décembre
♦ Âge : 20 en apparence
♦ Métier & (ou) autre : Trafiquante/A la tête d'une maison close
♦ Classe du personnage : Bourgeoise Hors La loi

♦ Description du caractère :Au premier regard elle est souriante, généreuse, mais ce n'est qu'un masque qui cache la vorace mante religieuse, avide d'homme. Ses péchés favoris sont la luxure et la gourmandise. Elle est sadique et sans pitié fasse aux autres, faible ou non. La souffrance des autres et sa dose de bonheur.

♦ Description physique : Grande et mince, elle a de long cheveux châtains aux reflets roux, coloré par le sang qu'elle a versé. Ses yeux sont vert pomme et ses lèvres constamment perlé de sang rouge. Sa peaux douce et laiteuse semble fragile. Elle s'habille généralement de vert, sa couleur fétiche.

Née d'une mère et d'un père bourgeois tout deux démons, je n'ai pas vraiment connu la misère dans ma plus tendre enfance. Nous habitions un petit manoir à l'orée d'une forêt, juste à côté d'un petit village de miséreux. Pas mal de meurtriers et autres hors la loi y ont résidé. D'ailleurs il faut savoir que mon manoir fût construit sur les ruine d'une vieille prison. Ma mère en avait enfermé la maîtresse de feu mon père. Une histoire bien banale que je ne vous conterai pas en détail, du moins pas ici. Ca n'est pas intéressant de toute manière...je vous assure !
Je grandis donc sans soucis financier, de nature curieuse je m'échappais souvent de mes cours particuliers pour jouer dans la forêt. J'y trouva un jour une mante religieuse en plein repas, ce jour là fut décisifs sur le reste de ma vie. En effet je fut fasciné par le mouvement de ses mandibules sur sa proie, criant silencieusement qu'on l’achève.
Cela devait surement faire partie de ma nature de démon, mais depuis ce jour, la souffrance des autres devint mon élixir de bonheur.
Je baladais donc ma nouvelle amie partout avec moi, je la nommait Mary. Mais un jour la pauvre fut écrasé par le cul imposant de mon père, succombant à une crise cardiaque. Alors que je pleurais la bouillit de Mary, ma mère crachait sur la tombe de son mari.
Suite à cela, elle s'engrossa, mangeant pour oublier, payant des pets et prostitué pour la satisfaire, sans jamais y arriver, toute la fortune y passa et elle mourut écrasé par son propre poids.

Image : avalantis